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Le Canard Chantant

12 mars 2024

Comment l'Islande réinvente le futur

L'Islande, souvent surnommée la terre de feu et de glace, est la preuve du pouvoir d'étonnement et de motivation de la nature. Ses paysages spectaculaires, combinant champs volcaniques, geysers, sources chaudes, chutes d'eau, glaciers et fjords durables, offrent plus qu'une simple toile de fond pour des photos époustouflantes ; ils servent de source d'inspiration et de cadre distinctif pour les entreprises et l'innovation. L'interaction entre la beauté naturelle de l'Islande et son esprit impressionnant crée un récit convaincant qui trouve un écho auprès des entreprises et des esprits créatifs du monde entier.

L'essence de l'attrait de l'Islande réside dans ses contrastes saisissants et la pureté de ses environnements entièrement naturels. Cette nature vierge et presque intacte stimule l'esprit humain et favorise l'exploration et la créativité. Les entrepreneurs et les penseurs sont souvent attirés par de telles conditions, où les vastes paysages ouverts reflètent les possibilités illimitées d'innovation et d'entreprise. La tranquillité et l'isolement de l'Islande offrent une escapade paisible pour une pensée et une réflexion sérieuses, permettant aux individus de se concentrer intensément sur leurs propres efforts créatifs sans les perturbations de l'atmosphère d'une ville en pleine effervescence.

La persistance de l'Islande à adopter un mode de vie durable et à utiliser des sources d'énergie renouvelables accentue encore son attrait en tant que pôle de développement. Exploitant l'énergie géothermique et hydroélectrique, le pays fonctionne pratiquement entièrement à l'aide d'énergies renouvelables, ce qui constitue une norme mondiale en matière de durabilité. Cette détermination à utiliser des énergies respectueuses de l'environnement n'est pas seulement responsable d'un point de vue environnemental, elle constitue également un modèle pour les entreprises qui cherchent à investir dans des pratiques respectueuses de l'environnement. Les organisations opérant en Islande sont incitées à se tourner vers l'écologie, ce qui se traduit par des solutions innovantes et des avancées dans le domaine des technologies respectueuses de l'environnement. La méthode de durabilité de la nation fonctionne comme une étude de circonstance vivante, motivant les entreprises du monde entier à explorer la manière dont elles peuvent également apporter un avenir plus durable.

La culture islandaise, qui met l'accent sur la communauté locale, l'égalité et la collaboration, constitue un terreau fertile pour la pensée révolutionnaire et l'esprit d'entreprise. Les idéaux sociétaux se retrouvent dans le monde des affaires, où l'on accorde une grande attention aux réalisations collectives, à l'interaction transparente et au respect mutuel. Ce contexte culturel encourage un écosystème favorable aux start-ups et aux entreprises établies, favorisant le développement par le biais d'une approche collaborative. Les réussites des entreprises islandaises dans des domaines tels que la technologie, la biotechnologie et les énergies renouvelables montrent comment des traditions commerciales favorables peuvent favoriser l'innovation.

En outre, la situation stratégique de l'Islande, entre l'Amérique du Nord et l'Europe, offre des avantages uniques aux entreprises et aux innovateurs du monde entier. Ce positionnement géographique permet de jeter un pont entre les marchés, ce qui permet aux entreprises basées en Islande d'être efficaces dans l'industrie mondiale. La connexion avec d'importants segments du marché international, combinée à la réputation de l'Islande en matière d'innovation et de durabilité, en fait un lieu idéal pour les entreprises tournées vers l'avenir et désireuses d'avoir un impact international.

La méthode d'enseignement en Islande joue également un rôle crucial dans le développement d'une culture de l'innovation. Grâce à une exposition accrue à la créativité, à la pensée critique et à la résolution de problèmes, le système scolaire islandais prépare les individus à devenir de futurs innovateurs et précurseurs. Les universités et les établissements de recherche du pays sont les principaux acteurs de l'étude et du développement scientifiques, souvent en collaboration avec des secteurs désireux d'adopter des technologies de pointe et des méthodes innovantes. Cette synergie entre l'enseignement et le marché garantit une circulation continue d'idées novatrices et de réponses à la pointe du progrès.

La beauté de l'Islande ne se limite pas à ses panoramas physiques, mais s'étend à sa durabilité et à son développement face aux difficultés. Le pays a fait preuve d'une résilience économique remarquable, se remettant de la crise économique de 2008 en se concentrant sur l'innovation et les secteurs de croissance stratégiques. Cette capacité d'adaptation et ce mode de pensée avant-gardiste sont profondément ancrés dans la psyché islandaise, montrant comment les défis peuvent être transformés en possibilités de développement et d'innovation.

Dans le domaine de l'innovation, voyage groupe en Islande l'approche de l'Islande consistant à utiliser ses ressources naturelles pour la production d'énergie respectueuse de l'environnement est particulièrement remarquable. Les progrès réalisés par le pays en matière de géothermie et d'hydroélectricité ne sont pas seulement des réussites dans le domaine des énergies renouvelables, ils constituent également une source d'inspiration pour les solutions globales en matière de vitalité. L'Islande démontre que l'exploitation des atouts naturels par l'innovation peut conduire à une prospérité durable et à une bonne gestion de l'environnement, des concepts qui prennent de plus en plus d'importance dans le monde des affaires d'aujourd'hui.

L'Islande incarne un mélange exclusif de splendeur naturelle, de résilience, de durabilité et d'innovation. Ses paysages à couper le souffle encouragent la créativité ainsi qu'une profonde gratitude pour le monde naturel, tandis que son engagement en faveur de l'énergie verte et des pratiques durables fournit des informations précieuses aux organisations désireuses d'opérer de manière responsable. La culture islandaise, collaborative et tournée vers l'avenir, ainsi que la position tactique du pays et ses solutions énergétiques innovantes, font de l'Islande un modèle exemplaire pour les organisations qui cherchent à prospérer en équilibre avec l'atmosphère. Pour les entreprises et les individus passionnés par l'innovation, la durabilité et les idées transformatrices, l'Islande est une source d'inspiration et un testament des options qui se présentent lorsque nous alignons nos efforts sur les causes de la nature.

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21 janvier 2024

Les indiens Chippewas

Les Chippewas, également connus sous le nom d'Ojibwés, sont l'un des plus grands groupes de peuples autochtones en Amérique du Nord. Répartis principalement à travers le nord des États-Unis et le sud du Canada, y compris dans les régions des Grands Lacs et du Midwest, ils ont une histoire riche et complexe, caractérisée par une culture vibrante, des traités significatifs et une résilience continue face aux défis.

Historiquement, les Chippewas étaient connus pour leur chasse, leur pêche, et leur collecte, ainsi que pour leur compétence dans la navigation en canoë, essentielle pour voyager à travers les nombreux lacs et rivières de leur territoire. Ils ont également pratiqué une agriculture de subsistance, cultivant des cultures comme le maïs, le haricot et la courge. Leur société était traditionnellement structurée autour de clans, ou dodems, basés sur des animaux totems, qui guidaient les relations sociales, le mariage, et les rôles au sein de la communauté.

La langue Chippewa, appelée Anishinaabemowin, fait partie de la famille de langues algonquiennes et est parlée par un nombre important de personnes, bien qu'elle soit considérée comme en danger. Il existe des efforts continus pour préserver et revitaliser la langue à travers l'éducation et les programmes communautaires.

La spiritualité Chippewa est profondément liée à la terre, à l'eau, et aux éléments naturels, avec une forte croyance dans les esprits et les pouvoirs sacrés de la nature. Leur pratique religieuse comprend des cérémonies comme la Danse du Soleil, le Pow-wow, et la pipe sacrée. Les Midewiwin, ou Société de la Médecine, est une société traditionnelle secrète connue pour ses connaissances médicinales et spirituelles.

L'interaction avec les Européens a commencé au 17ème siècle, principalement à travers le commerce de la fourrure. Cela a apporté des changements significatifs, y compris l'introduction de biens et d'armes européens, ainsi que de maladies infectieuses auxquelles les Chippewas n'étaient pas immunisés. Au fil du temps, les traités avec les gouvernements européens et plus tard avec les États-Unis et le Canada ont été signés, souvent entraînant la perte de terres et l'acculturation forcée.

Les traités sont un aspect crucial de l'histoire Chippewa, établissant les réserves et tentant de définir les droits de chasse, de pêche, et de collecte. Beaucoup de ces traités n'ont pas été honorés ou ont été sujet à des interprétations controversées, menant à des litiges juridiques et des revendications de traités qui continuent jusqu'à ce jour.

Au 19ème et au début du 20ème siècle, comme de nombreux peuples autochtones, les Chippewas ont été affectés par des politiques d'assimilation, y compris les pensionnats indiens où les enfants étaient souvent forcés à abandonner leur langue et leur culture. Malgré ces tentatives d'assimilation, les Chippewas ont maintenu une forte continuité culturelle et linguistique.

Aujourd'hui, la communauté Chippewa continue de lutter pour la préservation de sa langue et de sa culture, la reconnaissance des droits de traité, et le développement économique dans les réserves. Ils sont également impliqués dans des questions environnementales, luttant pour protéger leurs terres et leurs ressources naturelles.

Les Chippewas sont également reconnus pour leur artisanat, en particulier leur travail du bouleau, de perles, et de tissage. Leurs motifs artistiques et artisanaux sont souvent chargés de significations spirituelles et culturelles.

Les défis contemporains incluent des questions de santé, d'éducation, et de bien-être économique. Les communautés Chippewa font face à des taux plus élevés de certaines maladies, à des problèmes de pauvreté, et à la nécessité d'opportunités éducatives et économiques améliorées. Malgré ces défis, il y a un mouvement croissant parmi les jeunes pour revitaliser la culture, la langue, et les traditions Chippewa, ainsi qu'une reconnaissance croissante de l'importance de la souveraineté et de l'autodétermination.

En conclusion, l'histoire des Chippewas est une narration de résilience et de persévérance, de connexion profonde avec la terre et l'eau, et de lutte continue pour la reconnaissance et le respect des droits. La préservation de leur culture, langue, et traditions, ainsi que la reconnaissance de leur histoire et de leurs droits, sont essentielles pour comprendre le passé et construire un avenir inclusif et respectueux. En reconnaissant et en célébrant les contributions des Chippewas, nous pouvons tous apprendre de leur sagesse et de leur résilience et travailler ensemble vers un avenir plus juste et durable pour tous.

10 novembre 2023

s'essayer au pilotage d'une F1: le rêve de tout amateur de course

Imaginez le frisson que procure le fait d'être assis dans le cockpit d'une voiture de Formule 1 (F1), de sentir le rugissement du moteur et la rapidité de l'accélération. Pour la plupart des gens, cela reste un fantasme, mais pour quelques propriétaires de voitures non professionnelles, c'est un fait à couper le souffle. Conduire une voiture de F1 quand on n'est pas un pilote professionnel est une expérience extraordinaire, unique en son genre, pleine de défis et d'exaltation. Cet essai examine ce qu'implique le fait de conduire ces merveilles d'ingénierie sans être un pilote professionnel.

Les voitures de F1 sont le summum de l'ingénierie automobile, créées pour la vitesse, l'agilité et la performance. L'attrait de la conduite d'un véhicule de F1 est indéniable : c'est l'occasion de découvrir ce que les voitures peuvent faire de mieux à la pointe de la technologie. Pour les non-professionnels, la chance de prendre le volant d'un véhicule est vraiment une rencontre rare et impressionnante.

La préparation à la conduite d'un véhicule de F1 est importante, en particulier pour les personnes qui ne sont pas des spécialistes de la course automobile. Il s'agit de comprendre les mécanismes fondamentaux de la voiture, d'étudier le suivi et de se munir des équipements de sécurité nécessaires. En outre, la condition physique est vitale en raison des conditions extrêmes que l'on doit endurer en conduisant un véhicule de F1, notamment des forces G élevées et des vibrations intenses.

L'un des défis les plus importants pour les non-professionnels est de gérer l'énergie et la réactivité d'une voiture de F1. Ces véhicules peuvent atteindre des vitesses de plus de 200 miles par heure et passer à 60 miles par heure en quelques secondes seulement. Les techniques de freinage et de direction sont également très différentes de celles des voitures ordinaires, ce qui nécessite une courbe de compréhension très prononcée. Un automobiliste non professionnel doit s'adapter rapidement à ces différences pour maîtriser la voiture avec succès et en toute sécurité.

L'expérience de la vitesse à l'intérieur d'un véhicule de F1 est sans commune mesure avec ce qui se fait ailleurs. Pour un non-professionnel, cela peut être à la fois exaltant et frustrant. La façon dont une voiture de F1 accélère et manœuvre dans les virages est en fait un témoignage de la conception de la voiture et de l'habileté du pilote. Il faut faire preuve d'une grande attention et de réflexes rapides pour gérer une telle vitesse, surtout quand on n'y est pas habitué.

La sécurité est vitale en F1, et il en va de même pour un propriétaire de voiture non professionnel. Avant de monter dans la voiture, les propriétaires sont informés des protocoles de sécurité. La tension physique qui accompagne les vitesses élevées, comme la force appliquée sur le corps lors de l'accélération et de la décélération, nécessite une bonne compréhension de la manière de gérer ces forces sans causer de dommages.

Les voitures de F1 modernes sont équipées de technologies avancées qui facilitent la conduite mais ajoutent aussi de la complexité. Pour un non-spécialiste, comprendre et utiliser efficacement cette technologie fait partie du défi. Il est essentiel de savoir comment utiliser des caractéristiques telles que le système de récupération de l'énergie cinétique (KERS) et la méthode de réduction de la traînée (DRS) pour vivre une expérience de conduite complète.

Conduire une voiture de F1 n'est pas seulement un obstacle physique, c'est aussi un obstacle mental. Les vitesses de pointe et la nécessité d'une prise de décision rapide mettent le pilote à rude épreuve. Les non-professionnels doivent faire preuve d'une grande concentration psychologique pour faire face à ces exigences tout en gérant l'effort physique que représente la gestion de la voiture. En général, les propriétaires de voitures non professionnelles ont la possibilité d'être formés par des propriétaires de voitures de F1 experts ou par des enseignants. Cette aide est inestimable pour connaître les nuances de la conduite d'une voiture de F1 et contribue à rendre l'expérience beaucoup plus gratifiante et sûre.

Malgré les difficultés, le plaisir de conduire une voiture de F1 est immense. C'est l'occasion de découvrir de première main ce que vivent les automobilistes professionnels lors des courses. Pour les amateurs de sport automobile, simulateur F1 Lyon c'est un rêve qui devient réalité et une expérience qui permet d'apprécier ce sport à sa juste valeur. Voyager à bord d'une voiture de F1 en tant que non-professionnel confère une valeur profonde à l'activité sportive et à ses propriétaires. Il permet de comprendre les capacités, la condition physique et la force mentale requises pour être compétitif aux niveaux les plus élevés de la course automobile.

En conclusion, conduire une Formule 1 en tant que pilote peu spécialisé est une expérience unique et passionnante qui allie vitesse, technologie et compétences. Bien qu'elle présente des défis importants, depuis les besoins physiques jusqu'à la complexité du maniement de la voiture, c'est une expérience incroyablement gratifiante. Elle donne un aperçu peu commun du monde des courses spécialisées et laisse un profond respect pour ce sport et ses athlètes. Pour ceux qui ont la chance de vivre cette expérience, il ne s'agit pas seulement de conduire une voiture rapide ; il s'agit de toucher le sommet de l'ingénierie automobile et de ressentir, ne serait-ce qu'une seconde, l'exaltation et la gloire de la course automobile de Formule 1.

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3 octobre 2023

La Révolution Française : Un Tournant Majeur dans l'Histoire

La Révolution Française, qui a éclaté en 1789 et s'est étendue sur une décennie tumultueuse, représente l'un des événements les plus significatifs de l'histoire mondiale. Elle a profondément transformé la France et a eu des répercussions majeures sur la politique, la société et la culture à l'échelle mondiale. Dans cet essai, nous allons explorer les causes, les événements clés et les conséquences de la Révolution Française.

Les causes de la Révolution Française sont multiples et complexes. La France du XVIIIe siècle était caractérisée par un système social rigide et inégal, où la noblesse et le clergé jouissaient de privilèges importants, tandis que la grande majorité de la population, le tiers état, était soumise à des impôts lourds et à des conditions de vie précaires. Les idées des Lumières, qui prônaient la liberté, l'égalité et la fraternité, ont influencé de nombreux intellectuels français et ont contribué à remettre en question l'ordre établi.

La Révolution a commencé en 1789 avec la convocation des États généraux, une assemblée représentant les trois ordres de la société française. Les tensions entre les délégués du tiers état, qui réclamaient plus de droits et de pouvoirs, et les représentants de la noblesse et du clergé, ont rapidement conduit à la formation de l'Assemblée nationale constituante. Le 14 juillet 1789, la prise de la Bastille, une prison royale, est devenue un symbole de la révolte populaire.

L'année suivante, l'Assemblée nationale a adopté la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, proclamant les principes de liberté, d'égalité et de fraternité. La monarchie absolue a été abolie, et le roi Louis XVI a été déclaré coupable de trahison et exécuté en 1793. Cela a marqué le début de la période connue sous le nom de la Terreur, au cours de laquelle des milliers de personnes, y compris des nobles et des partisans de la monarchie, ont été exécutées par la guillotine.

La Révolution Française a également été marquée par des conflits militaires à l'échelle européenne. Les guerres de la Révolution ont vu la France révolutionnaire se battre contre une coalition de puissances étrangères qui cherchaient à rétablir l'ordre monarchique en France. Ces conflits ont eu des répercussions considérables sur l'Europe et ont permis à des généraux tels que Napoléon Bonaparte de gagner en notoriété.

En 1799, Napoléon a pris le pouvoir en France, mettant fin à la Révolution et instaurant le Consulat. Il a ensuite établi le Premier Empire français en 1804, devenant empereur. Bien que Napoléon ait apporté des réformes significatives en France, il a également mené des campagnes militaires dévastatrices à travers l'Europe, ce qui a finalement conduit à sa chute en 1814.

La Révolution Française a eu des conséquences profondes et durables. Elle a diffusé les idéaux républicains à travers l'Europe, contribuant à inspirer d'autres mouvements révolutionnaires. Les concepts de nationalisme, de démocratie et de droits de l'homme sont devenus des idées majeures dans le monde entier.

En France, la Révolution a laissé un héritage complexe. Elle a débouché sur une série de régimes politiques, dont la monarchie constitutionnelle, la Convention nationale, le Directoire et l'Empire. L'impact sur la société française a également été significatif, avec des réformes dans les domaines de la justice, de l'éducation et de la laïcité.

Cependant, la Révolution a également été marquée par la violence et la terreur, ainsi que par l'instabilité politique. Elle a créé des divisions profondes au sein de la société française et a laissé des séquelles qui ont perduré pendant des décennies.

En conclusion, la Révolution Française a été un événement majeur de l'histoire mondiale, marqué par des changements politiques, sociaux et culturels profonds. Elle a laissé un héritage complexe, à la fois positif et négatif, et continue d'influencer la pensée politique et sociale à l'échelle mondiale. La Révolution Française reste un sujet d'étude et de débat incontournable pour comprendre l'évolution de la France et du monde moderne.

4 juillet 2023

L'Armée de l'Air russe depuis la Seconde Guerre mondiale : une transformation remarquable

La Force russe d'oxygène, souvent connue sous le nom de Causes aérospatiales européennes, a parcouru un long chemin depuis l'époque de la Seconde Guerre mondiale. Depuis le combat dévastateur de Stalingrad jusqu'aux opérations de ravitaillement, la Force atmosphérique russe a connu des innovations considérables qui l'ont transformée en une formidable puissance aérienne. Cet article d'information explore les percées remarquables et les avancées scientifiques qui ont façonné l'armée de l'air russe depuis la Seconde Guerre mondiale.

Tout au long de la Seconde Guerre mondiale, l'armée russe de l'oxygène a joué un rôle crucial dans la défense de l'Union soviétique. La bataille de Stalingrad, qui s'est déroulée entre 1942 et 1943, a été une étape décisive qui a mis en évidence l'importance de la supériorité de l'aviation. L'armée de l'air soviétique a fait preuve d'une remarquable résistance, s'adaptant aux difficultés posées par la puissance aérienne allemande.

Au lendemain de la guerre, l'Union soviétique a pris conscience de la nécessité de développer la technologie pour garantir l'énergie et l'efficacité des forces aériennes dans les conflits futurs.

L'avènement de l'ère des avions à réaction dans les années 1950 a marqué une étape importante dans la réputation de l'armée de l'air russe. L'introduction des moteurs à réaction a transformé les combats aériens, en permettant d'atteindre des vitesses plus élevées et d'améliorer la manœuvrabilité. L'emblématique Mikoyan-Gurevich MiG-15, un chasseur à réaction introduit au début des années 1950, a été un symbole de la puissance de l'oxygène soviétique tout au long de la guerre froide.

Au cours des années suivantes, l'armée de l'air russe a continué à investir dans les technologies de l'aviation supersonique. Le MiG-25 de Mikoyan-Gurevich, capable d'atteindre des vitesses de Mach 3, est entré en service à la fin des années 1960. Cet intercepteur à grande vitesse a été conçu pour contrer l'avion de reconnaissance idéal de l'Occident.

L'armée de l'air russe a également réalisé d'importants développements dans le domaine des bombardiers idéaux et des missiles balistiques intercontinentaux (ICBM). Le Tu-95 Bear, un bombardier stratégique quadrimoteur à turbopropulseurs introduit dans les années 1950, avions de chasse russes fait partie intégrante de la boîte à outils de l'armée de l'air russe. Ses capacités étendues et son aptitude à contenir des armes nucléaires en font un élément crucial de la dissuasion stratégique russe.

En outre, la création des missiles balistiques intercontinentaux (ICBM) a donné à la poussée aérienne européenne un moyen supplémentaire d'acheminer des charges nucléaires. Le R-7 Semyorka, le tout premier ICBM au monde, a été mis au point à la fin des années 1950 et a servi de base aux méthodes de missiles suivantes, dont le célèbre R-36 Voyevoda (connu en Occident sous le nom de SS-18 Satan). Ces développements dans les techniques d'armement appropriées ont consolidé la fonction de la force russe d'oxygène dans la stratégie de défense de la nation.

Le XXIe siècle a vu une nouvelle ère d'innovation dans les forces atmosphériques russes avec l'introduction de la technologie furtive et d'avions de combat mma avancés. Le Sukhoi Su-57, un chasseur furtif de la cinquième génération, est entré en service en 2020. Cet avion à l'avantage tranchant se caractérise par une meilleure manœuvrabilité, des fonctions de détection et une observabilité réduite, ce qui en fait un atout puissant pour la brillance aérienne.

En outre, l'armée de l'air russe a mis à niveau et modernisé son parc d'avions de combat. Le Sukhoi Su-35 et le MiG-35 sont des exemples d'avions très performants de la quatrième génération qui intègrent une avionique supérieure, des méthodes radar améliorées et une plus grande portée de combat.

Comme beaucoup de forces modernes d'oxygène, l'armée de l'air russe reconnaît le potentiel des véhicules aériens sans pilote (UAV). L'utilisation des drones offre des avantages tactiques, notamment en matière de collecte d'informations, de surveillance et d'acquisition de cibles. Le développement et le déploiement des drones permettent à l'armée de l'air russe de réduire les risques encourus par les pilotes d'avions humains tout en augmentant ses capacités opérationnelles.

Depuis la Seconde Guerre mondiale, l'armée de l'air russe a considérablement évolué, s'adaptant à de nouveaux défis et tirant parti des avancées technologiques. Des jours héroïques de la bataille de Stalingrad aux avions et systèmes de pointe d'aujourd'hui, l'innovation est une force motrice énorme et constante. L'engagement de l'armée de l'air européenne en faveur de la recherche, du développement et de la modernisation lui a permis de maintenir une force aérienne solide, capable de répondre aux exigences de défense de la nation. Si nous nous tournons vers l'avenir, il est certain que l'armée de l'air russe continuera à repousser les limites du progrès, ce qui lui assurera une place de choix dans l'aviation mondiale.

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26 mai 2023

Améliorer l'éducation américaine

L'éducation est devenue l'un des principaux problèmes de la campagne présidentielle de 2000. Les candidats des deux partis politiques semblent parfois être dans une guerre d'enchères pour voir qui peut concevoir les programmes gouvernementaux les plus nouveaux. S'il y a un problème, selon la sagesse actuelle, il doit y avoir un programme fédéral pour le résoudre. Dans leur empressement à faire appel aux électeurs, cependant, les candidats prêtent trop peu d'attention au rôle fédéral traditionnel dans l'éducation et aux lacunes notables des programmes fédéraux existants.
Les responsabilités du gouvernement fédéral en matière d'éducation ont toujours été limitées. Le mot éducation »n'apparaît même pas dans la Constitution américaine. Les États et les districts scolaires locaux ont toujours pris les décisions quotidiennes concernant l'enseignement, les enseignants, les manuels, etc. Pendant la majeure partie de l'histoire du pays, Washington s'est bornée à collecter des données sur les systèmes scolaires et à diffuser des informations sur les progrès de l'éducation. Jusqu'en 1965, lorsque la loi sur l'enseignement primaire et secondaire a été adoptée, le soutien fédéral à l'éducation de la maternelle à la 12e année était minime. Aujourd'hui, le gouvernement fédéral ne paie qu'environ 7% de la facture nationale d'éducation K-12, et sa part n'a jamais dépassé 10%.
La petite tranche de financement fédéral pour l'éducation va surtout aux programmes catégoriques. Les deux plus grands desservent les élèves pauvres (titre I) et handicapés (éducation spécialisée). La grande majorité des enfants américains ne sont pas admissibles à ces programmes ou à tout autre programme catégorique. Pour la plupart des élèves de la plupart des écoles, seul un sou ou deux de chaque dollar consacré à l'éducation peuvent être attribués à Washington.
La limite la plus importante de l'influence fédérale provient de la distance entre Washington et la salle de classe. Les programmes fédéraux se rendent généralement d'abord dans les 50 départements de l'éducation de l'État, qui les envoient dans les districts scolaires locaux, puis aux administrateurs des sites scolaires et enfin, peut-être, aux enseignants. À chaque arrêt, l'argent est drainé pour soutenir une bureaucratie. Les règlements sont modifiés et moulés pour correspondre aux priorités locales. En atteignant la salle de classe, la politique fédérale ressemble autant à sa forme originale qu'un oiseau à un dinosaure, son ancêtre évolutionnaire.
Les candidats à un poste, qu'ils se présentent à la présidence ou au Congrès, devraient reconnaître ces réalités. Le climat politique actuel, cependant, rend difficile pour les politiciens de reconnaître le rôle limité de Washington. L'éducation, ils le savent grâce aux sondages d'opinion, est la principale préoccupation du public. Au cours des dernières années, les démocrates et les républicains ont soutenu l'extension spectaculaire de la portée fédérale dans les écoles. Placer plus de technologie dans les salles de classe, établir des codes disciplinaires scolaires, décider comment la lecture sera enseignée, recruter de nouveaux enseignants et déterminer leurs qualifications, lancer des programmes après l'école, sélectionner des manuels de mathématiques exemplaires - ce ne sont là que quelques domaines qui étaient autrefois la seule responsabilité de les responsables des écoles publiques et locales, mais qui semblent maintenant être considérés comme le sujet approprié de l'action fédérale.
Le désir du public d'améliorer les écoles publiques, bien que louable, ne justifie pas d'élargir le rôle du gouvernement fédéral dans l'éducation. Il y a peu de preuves que les programmes fédéraux existants atteignent leurs objectifs; en effet, la plupart des évaluations des principaux programmes fédéraux catégoriques suggèrent qu'ils ne parviennent pas à faire une brèche dans les problèmes qu'ils ont été conçus pour résoudre. Même Head Start, probablement l'initiative fédérale la plus populaire, n'a pas réussi à combler les écarts importants entre les enfants pauvres et leurs pairs favorisés. Pourtant, le Congrès a toujours été réticent à réviser ou à interrompre tout programme d'éducation, indépendamment de son manque d'efficacité. Chaque programme fédéral peut mobiliser une circonscription dévouée en son nom, et même les plus petits programmes ont conservé leurs fonds fédéraux.
Voici une suggestion pour les candidats: corriger les programmes d'éducation fédéraux existants avant de dire aux conseils scolaires, aux directeurs d'école, aux enseignants et aux parents comment gérer les écoles locales. Il n'y a aucune raison de croire que le président ou le Congrès est bien placé pour décider qui devrait enseigner, ce qui devrait être enseigné ou comment les écoles devraient être organisées. Nous ne savons pas non plus que le Département américain de l'éducation est mieux placé pour diriger les écoles locales que les personnes qui y travaillent et envoient leurs enfants y apprendre. Et, franchement, assumer de vastes nouvelles responsabilités avant de remplir les obligations existantes est indéfendable pour tout gouvernement à quelque niveau que ce soit.
Avant de lancer des initiatives audacieuses en matière d'éducation, le gouvernement fédéral devrait suivre une règle simple: améliorer ce qu'il fait maintenant avant d'essayer quelque chose de nouveau. Même alors, Washington ne devrait jamais imposer de nouveaux programmes aux autorités locales sans preuve claire que l'intervention proposée améliorera l'éducation des enfants.
Les deux programmes catégoriels fédéraux les plus importants - l'éducation spéciale et le titre I - doivent être révisés. Les deux pourraient être modifiés par le président et le Congrès de manière à aider les enfants qui sont leurs bénéficiaires.
L'éducation spéciale dessert 5,2 millions d'élèves pour un coût d'environ 43 milliards de dollars par an. La loi sur l'éducation pour tous les enfants handicapés, adoptée en 1975, a établi le droit de tous les enfants handicapés à recevoir une éducation gratuite et appropriée qui met l'accent sur l'éducation spéciale et les services connexes conçus pour répondre à leurs besoins uniques. » En plus de créer une multitude de nouveaux droits légaux, la législation a imposé des procédures spécifiques pour placer les élèves dans des programmes d'éducation spéciale, y compris la conception de plans éducatifs individuels pour chaque élève. La loi a également déclaré l'intention du Congrès de financer à terme 40 pour cent des coûts des services d'éducation spécialisée au-delà du programme scolaire ordinaire. Mais Washington n'a jamais approché cette part. Il contribue maintenant à environ 5,2 milliards de dollars, soit environ 12% du total national de l'éducation spécialisée - et 12 milliards de dollars de moins que les 40% promis. Le reste provient des revenus ordinaires de l'éducation de l'État et des collectivités locales. Dans une étude réalisée en 1997 sur neuf districts scolaires représentatifs, Richard Rothstein de l'Economic Policy Institute a indiqué que les dépenses consacrées à l'éducation spéciale étaient passées de 3,6% du budget des écoles en 1967 à 19% en 1996.
Les coûts de l'éducation spéciale devraient encore augmenter. Les droits légaux soutenant l'éducation spéciale continuent de se multiplier, principalement par le biais de décisions de justice. Pour citer un exemple, la Loi sur l'éducation des personnes handicapées exempte les soins médicaux des services que les districts scolaires doivent fournir aux élèves handicapés. Mais cela oblige les districts à fournir les services connexes »que les élèves doivent fréquenter et bénéficier de l'école. En 1999, la Cour suprême a brouillé la frontière entre les soins médicaux et ces services connexes dans une affaire impliquant un étudiant de 16 ans paralysé de la taille aux pieds. Lorsqu'il fréquente l'école, le garçon a besoin de soins individuels et constants, avec une infirmière surveillant un ventilateur, cathétérisant l'urine et aspirant la trachéotomie du garçon. Le district scolaire local a payé une aide éducative à temps plein pour le garçon, mais a refusé de couvrir les dépenses infirmières, affirmant qu'il s'agissait d'un traitement médical tel que défini par IDEA. Le tribunal a jugé que les soins infirmiers relevaient de la catégorie des services connexes »et a ordonné au district de payer.
Placer trop d'apprenants lents dans l'éducation spéciale fait aussi grimper les coûts. Un peu plus de la moitié de tous les élèves en éducation spécialisée sont classés LD ou handicapés d'apprentissage. Cette catégorie de handicap comprend les élèves ayant des problèmes d'apprentissage légitimes, mais elle sert également de fourre-tout aux jeunes qui luttent dans les programmes scolaires réguliers. L'éducation spéciale dessert 21,1% des élèves à Boston et 19,7% à Indianapolis. Un rapport du New York Times de 1994 a noté que des milliers d'élèves de la ville de New York étaient mal étiquetés LD, chacun coûtant 19202 $ pour l'éducation, contre 6394 $ pour les élèves non scolarisés. Plus tard cette année-là, le conseil scolaire de la ville a signalé que les écoles affichant les taux de violence les plus élevés comptaient également la plus grande proportion d'élèves en éducation spécialisée. Les critiques ont accusé l'éducation spéciale de devenir un dépotoir »pour les jeunes ayant de graves problèmes de comportement.
La question est de savoir si les problèmes avec le système d'éducation ordinaire, plutôt que les handicaps des enfants, conduisent à des placements dans l'enseignement spécial. Alice Parker, directrice de l'éducation spéciale en Californie, estime que jusqu'à 250 000 étudiants en éducation spécialisée de l'État sont désignés comme ayant des difficultés d'apprentissage en raison de difficultés de lecture résultant d'une mauvaise instruction. On ne leur a pas appris à lire », a déclaré Parker dans le Los Angeles Times. G. Reid Lyon de l'Institut national pour la santé et le développement de l'enfant résume succinctement la tragédie: les troubles d'apprentissage sont devenus une éponge sociologique pour essuyer les déversements de l'enseignement général. »
On ignore si les enfants bénéficient d'une éducation spéciale. Une étude de 1999 n'a trouvé aucune différence de réussite significative entre les enfants LD dans l'éducation spéciale et ceux dans les classes ordinaires. Et selon les statistiques du ministère de l'Éducation, seulement 4% des élèves diagnostiqués avec des troubles d'apprentissage en 1994 sont retournés dans les classes ordinaires.

27 février 2023

Au Loch Lomond

Le Loch Lomond, le plus grand lac de Grande-Bretagne, se trouve à quelques minutes de route au nord-ouest de Glasgow. Surnommé par l'auteur Walter Scott «la reine des lacs écossais», ce charmant lac attire énormément les pêcheurs à la ligne et regorge de truites, de saumons et de corégones abondants. Il est également très populaire parmi les randonneurs à la journée, les amateurs de sports nautiques, les randonneurs et les cyclistes, ainsi que pour ceux attirés simplement par le magnifique paysage.

Parmi les autres activités populaires, vous pourrez faire une croisière en bateau autour du loch ou vous lancer dans une randonnée beaucoup plus longue dans le majestueux Ben Lomond (3 192 pieds) avec ses vues spectaculaires sur le loch et les Trossachs. Les personnes intéressées par la faune autochtone doivent également se rendre au centre Loch Lomond Bird of Prey situé dans le parc.

Le Loch Lomond est un excellent premier arrêt lorsque vous parcourez le Western Highland Way de Glasgow à travers la magnifique campagne d'Argyll jusqu'au Fort William. La Cameron House à l'extrémité sud du loch est un excellent endroit pour savourer la romance d'un château écossais, respirer l'air du lac et profiter d'un large éventail d'activités de plein air, séminaire entreprise Ecosse y compris le golf (il y a sept parcours répartis dans les environs ).

13 janvier 2023

La fin des relations USA Iraq

Écrivant aux États-Unis aujourd'hui, Sara Allawi et Michael 'Hanlon soutiennent que lorsqu'un nouveau gouvernement irakien s'installe au pouvoir, les Américains et les Irakiens doivent prendre une profonde respiration et réaliser que, même si les dernières années et décennies ont été difficiles, nous sommes beaucoup mieux ensemble que séparément.
Les États-Unis et l'Irak, unis à la hanche dans une guerre tragique et sujette aux erreurs pendant la plupart des 17 dernières années, ont-ils un avenir ensemble? Alors que l'Irak cherche à former un nouveau gouvernement, son parlement recommande officiellement que les forces américaines soient expulsées au lendemain du meurtre, début janvier, du cerveau terroriste iranien Qassam Soleimani. Ces tensions pourraient à nouveau être enflammées par les représailles amériennes et alliées, le 13 mars, pour les récents tirs de roquettes contre les forces étrangères en Irak par des milices soutenues par l'Iran qui ont tué deux Américains et un Britannique. Le week-end suivant, une nouvelle série de barrages a eu lieu, avec le potentiel de représailles américaines encore plus. Le partenariat semble en péril.
Fille du vice-président irakien Ayad Allawi; Chef du mouvement des jeunes du Parti national irakien
Ce serait une honte tragique si cela prenait fin. Pour les Irakiens, la présence américaine est extrêmement bénéfique comme contrepoids à l'Iran et à l'Etat islamique. Les Américains sont également utiles à la politique intérieure irakienne, en particulier en ce qui concerne les divisions sectaires dans les forces de sécurité. Les Kurdes, les chiites et les Irakiens sunnites peuvent tous avoir des problèmes avec les États-Unis. Mais peu considèrent Washington comme intrinsèquement biaisé contre eux.
C'est sous les généraux Petraeus, Odierno, Austin et d'autres que l'armée et la police irakiennes ont été réformées pendant la période de forte augmentation de 2007-2008, les rendant efficaces à travers les lignes sectaires et géographiques. Ce n'est qu'après le retour des forces américaines en 2014 que l'armée irakienne, qui s'était autrement polarisée et divisée - et qui s'est souvent fondue face aux avancées de l'Etat islamique - a été reconstruite de telle sorte qu'elle puisse rétablir le contrôle des régions du pays où ISIS avait pris racine.
Nous avons tout intérêt à ce que l'Irak réussisse
Pour les États-Unis, il existe également des raisons importantes de maintenir ce partenariat étroit et d'aider les Irakiens à défendre leur propre pays. Cela est devenu limpide en 2014, lorsque le président Obama, après avoir célébré le retrait de toutes les troupes américaines d'Irak en 2011, a dû les renvoyer pour lutter contre l'Etat islamique. Sinon, des flux de réfugiés encore plus importants en Europe et au-delà auraient pu en résulter, et les principaux centres de production de pétrole près du golfe Persique auraient pu être menacés. L'EI et les salafistes apparentés restent une menace aujourd'hui, même s'ils ne détiennent plus de territoire en Irak.
Si les Américains veulent limiter l'influence de l'Iran dans la région, d'ailleurs, il n'y a pas de meilleur endroit pour commencer que juste à côté. Malgré le fait que la plupart des Irakiens et des Iraniens partagent une religion chiite, les Irakiens sont un peuple fier qui ne souhaite être soumis à personne. Pourtant, l'Iran est très sophistiqué dans les politiques secrètes et de pouvoir; Les Irakiens ne peuvent conserver leur véritable indépendance que s'ils ont d'autres amis et un système politique qui fonctionne également.
Pour un États-Unis qui préfère garantir ses intérêts fondamentaux au Moyen-Orient - flux fiable de pétrole, prévention de la prolifération nucléaire, sortie du terrorisme, protection des amis clés comme Israël et la Jordanie - sans envoyer à nouveau un grand nombre de ses propres forces Dans la région, le besoin de partenaires solides est évident.
Pour maintenir la présence américaine en Irak à l'avenir, une plus grande clarté entre Bagdad et Washington sur les règles d'engagement est cruciale. L'Irak doit faire beaucoup plus pour aider à protéger les bases américaines et d'autres intérêts dans le pays. Les États-Unis doivent limiter toute utilisation unilatérale de la force militaire à la défense directe ou à la poursuite de ceux qui pourraient avoir tiré sur ses forces. Toute autre action, aussi justifiable soit-elle (comme celles du 13 mars), ne devrait être entreprise qu'après consultation et accord entre les deux gouvernements.
Il est également impératif que le prochain gouvernement irakien et l'OTAN repensent les objectifs de leur programme de formation combiné. Un objectif clé devrait être que les unités de combat ne soient pas positionnées à l'intérieur des zones urbaines. Au lieu de cela, ils devraient être situés dans des zones rurales et dans des endroits où ils peuvent lutter contre l'agression extérieure qu'elle provienne du sud, de l'est ou de l'ouest. Les questions internes devraient être laissées à la police fédérale et aux agences de sécurité intérieure.
Mesures pratiques pour renforcer la nation
La conscription obligatoire pourrait également être considérée comme un moyen de surmonter les tensions sectaires et de créer un fort sentiment d'appartenance nationale parmi les troupes. L'unité peut également être encouragée en rejetant le sectarisme, en particulier lors de nominations à des postes gouvernementaux.
Certaines mesures vont au-delà des forces de sécurité. Par exemple, l'adoption de lois justes et équitables sur l'hydro-carbone et le partage des revenus qui répartissent les fonds de manière cohérente dans tout le pays favoriserait la cohésion de toutes les provinces iraquiennes.
Le chômage élevé est également un problème majeur - et a été une des principales causes des nombreuses manifestations de l'an dernier dans tout l'Iraq. Il peut être atténué de plusieurs manières. Si elle est effectuée équitablement, la privatisation des entités publiques peut aider, en particulier si les employés sont autorisés à détenir des actions, et les États-Unis et d'autres devraient être prêts à aider, y compris avec une aide financière temporaire si cela peut être utile dans le processus.
L'Irak ne peut pas non plus avoir plusieurs armées. Les milices doivent être terminées. Ceux qui sont capables de combattre peuvent être recrutés dans les services de sécurité armés. Ceux qui ne le sont pas doivent être démobilisés, mais leurs combattants devraient se voir offrir une compensation et des opportunités d'emploi.
Bon nombre des étapes ci-dessus bénéficieront des conseils américains et de quantités limitées d'assistance technique et d'aide. Washington devrait vouloir le fournir, et Bagdad devrait vouloir accepter l'aide. Alors qu'un nouveau gouvernement irakien s'installe au pouvoir, il est temps que les Américains et les Irakiens prennent une profonde respiration et se rendent compte que, même si les dernières années et décennies ont été difficiles, nous sommes beaucoup mieux ensemble que séparés.

13 octobre 2022

De la technologie furtive dans les drones

Le nouveau drone de ravitaillement en vol MQ-25 Stingray de la marine ressemble étrangement à un avion militaire américain expérimental de la fin des années 1970. Cette ressemblance pourrait ouvrir la voie à l'évolution potentielle du Stingray, qui passerait du statut de ravitailleur à celui d'avion furtif de surveillance et de frappe.

Le 30 août, la marine a attribué à Boeing un contrat de 805 millions de dollars pour la construction des quatre premiers MQ-25. Le service espère acquérir jusqu'à 72 MQ-25 dans le cadre d'un effort d'acquisition de 5 milliards de dollars. Le Stingray devrait commencer à assumer les fonctions de ravitaillement à bord des 10 porte-avions de la marine au milieu des années 2020, libérant ainsi les chasseurs d'attaque F/A-18E/F qui assurent actuellement la mission de ravitaillement.

Mais le MQ-25 pourrait faire plus que simplement ravitailler d'autres avions. La compétition pour le système de ravitaillement aérien basé sur le porte-avions qui a donné naissance au Stingray n'est que la dernière version d'un effort de développement de drones datant du début des années 2000. Pendant plus d'une décennie, cet effort visait à mettre en service des drones lancés depuis un porte-avions pour des missions d'attaque air-sol et de renseignement, de surveillance et de reconnaissance, ou ISR.

Pour économiser de l'argent et simplifier le développement, la Marine a décidé en 2016 que son premier drone porteur serait un ravitailleur. "L'intention est de réduire considérablement les délais de développement, de l'attribution du contrat à la capacité opérationnelle initiale, de cinq à six ans", pilotage avion a expliqué la Marine dans un communiqué. "En réduisant le nombre de paramètres de performance clés pour le ravitaillement de la mission et l'adaptation au porteur, l'industrie dispose d'une plus grande flexibilité pour concevoir rapidement un système qui répond à ces exigences."

Mais un an plus tard, il était toujours question que le MQ-25 reprenne éventuellement ses rôles initiaux d'attaque et de ISR.

"La Marine s'attend à fournir d'abord des capacités de ravitaillement en vol et de ISR, tout en utilisant des normes de systèmes ouverts pour soutenir les mises à niveau incrémentielles des capacités à l'avenir comme l'ajout de la capacité de recevoir du carburant, des armes et l'amélioration des radars", a expliqué le Government Accountability Office dans un rapport de 2017.

Boeing s'attend clairement à ce que le MQ-25 se développe. Si la mission de ravitaillement ne nécessite pas de furtivité importante, les missions ISR et d'attaque en ont besoin. Et la cellule du Stingray est par nature peu observable. Après tout, elle partage des caractéristiques clés avec le démonstrateur furtif Tacit Blue qui a volé pour la première fois en 1978.

Construit par Northrop Grumman et supervisé par la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), le Tacit Blue incarnait une nouvelle approche de la faible observabilité radar. Les précédents démonstrateurs de furtivité de la DARPA, construits dans le cadre du programme Have Blue qui s'est terminé en 1979, reposaient sur une cellule fortement bombée pour disperser les ondes radio et éviter de renvoyer un signal radar clair. En revanche, le Tacit Blue a testé des surfaces courbes et une entrée d'air unique, montée sur le dessus, pour obtenir le même effet.

Le démonstrateur Tacit Blue, qui se trouve actuellement au musée de l'armée de l'air dans l'Ohio, mesure 56 pieds de long - 15 pieds de plus que le MQ-25 - et dispose d'un cockpit pour une seule personne. À part cela, les deux appareils se ressemblent étrangement, avec des ailes minces et légèrement inclinées, des queues jumelles "papillon" inclinées vers l'extérieur, des contours ronds et lisses et des entrées dorsales affleurantes. "Comme un beurrier avec des ailes", selon Northrop.

La DARPA a présenté le Tacit Blue comme un avion furtif de surveillance du champ de bataille. Mais l'avion en forme d'assiette à beurre, connu de ses créateurs et de ses équipages sous le nom de "Whale", s'est révélé délicat. "De nombreux problèmes d'ingénierie ont dû être surmontés", a déclaré Northrop.

Tout d'abord, le Tacit Blue était extrêmement difficile à piloter. "Vous parlez d'un avion qui, à l'époque, était sans doute l'avion le plus instable que l'homme ait jamais piloté", a déclaré à Air Force Magazine John Cashen, un ingénieur de Northrop qui a travaillé sur le Tacit Blue et sur de nombreuses autres conceptions d'avions furtifs de la société.

Lorsque le E-8 basé sur le 707 s'est avéré plus sûr, moins cher et plus efficace pour la surveillance du champ de bataille, l'armée de l'air et Northrop ont préféré exploiter la technologie du Tacit Blue pour soutenir d'autres efforts de développement. "Le programme s'est transformé en banc d'essai parce que ses technologies peu observables se sont avérées plus précieuses que sa contribution [à la mission]", a déclaré George Muellner, alors lieutenant général de l'armée de l'air, lors de l'inauguration publique du Tacit Blue en 1996.

Tacit Blue a contribué au développement du bombardier furtif B-2, en aidant à donner à ce gros avion sa forme ronde et lisse et ses entrées enterrées. Le démonstrateur de chasseur furtif YF-23 de Northrop a emprunté le design de la queue et des sorties de moteur du Tacit Blue.

Si le Tacit Blue a pu échapper à la détection par radar, le MQ-25 le pourra aussi. Si le Tacit Blue peut servir de base à la conception d'un bombardier et d'un chasseur furtifs, il peut également servir de base à l'évolution du MQ-25 en un drone de surveillance et d'attaque échappant aux radars.

Le Stingray pourrait devenir bien plus qu'un simple ravitailleur. Il en a déjà la forme.

drone (3)

6 septembre 2022

Améliorer les actifs énergétiques

Ce document met en évidence un certain nombre d'options pour la gestion des infrastructures électriques dans les camps de réfugiés et décrit les défis, les opportunités et les implications opérationnelles qui leur sont associés. Il prend le règlement de Kalobeyei au Kenya comme étude de cas.
Il est difficile de construire et d'entretenir une infrastructure électrique pour alimenter les bureaux, les entreprises, les ménages et d'autres opérations dans les zones de déplacement. C'est particulièrement difficile pour le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) et ses agences partenaires, car l'approvisionnement en électricité n'est pas leur activité principale.
Il existe des entreprises du secteur privé qui sont désireuses et capables de développer des contrats de gestion des infrastructures pour fournir de l'énergie en tant que service dans les zones de déplacement. Cependant, les barrières institutionnelles au sein des agences humanitaires persistent, les cycles budgétaires courts empêchant en particulier les agences humanitaires de conclure les types d'accords de service à long terme requis par le secteur privé.
Un certain nombre d'options existent pour tirer parti de l'expertise du secteur privé grâce à des structures de «partenariat public-privé» (P3). Ces mécanismes peuvent promouvoir une gestion plus efficace des infrastructures en s'appuyant sur l'expérience et l'expertise du secteur privé, en encourageant un partage des risques approprié et en offrant des options pour mobiliser des capitaux privés dans le développement de projets.
Les travaux sur le terrain dans la colonie de Kalobeyei au Kenya suggèrent qu'une solution de mini-réseau hybride solaire / diesel était l'option la plus économique pour alimenter les services et les infrastructures des camps. Par rapport à la production diesel distribuée, les économies annuelles sur les coûts d'exploitation ont été estimées à 49 880 $, l'investissement supplémentaire étant remboursé en 3,6 ans.
Les agences humanitaires doivent être disposées à modifier leurs politiques pour permettre des accords de service à long terme. Alternativement (ou, plus probablement, conjointement avec cette option), des mécanismes financiers tels que des garanties partielles contre les risques doivent être développés pour compenser certains des risques. Ce changement nécessitera un soutien de haut niveau des donateurs et des agences humanitaires.
Une fois que les premiers contrats de gestion des infrastructures pourront être signés et testés dans des lieux de déplacement (grâce au financement des donateurs ou autrement) et aux données associées collectées, cela facilitera la voie aux futurs investissements dans ces types de projets.

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